La
conjuration des imbéciles – John Kennedy Toole
Il paraît que c'est bien et jouissif. J'ai commencé le
premier chapitre et j'y ai trouvé un personnage picaresque, énorme
et déjanté, aux réactions hors-normes... A dire vrai, j'ai
l'impression d'avoir lu ça mille fois.
Comme c'est un e-book non officiel, pas très réussi,
avec une coquille par page, ça m'a gonflé deux fois plus et j'ai
laissé tomber dès la fin du premier chapitre... Pas grave. Des
« livres géniaux et complètement déjantés », il y en
a à la pelle... Tellement en fait que ça devient très balisé...
Histoire
d'O – Pauline Réage
Curieux de lire ce roman qui représentait, vers la fin
de mon enfance, ce qu'il y avait de plus scandaleux et sulfureux. Du
moins est-ce ainsi que je l'avais perçu en captant les conversations
d'adultes et entrevoyant quelques mots à son sujet à la télévision
(certainement pas d'images à cette époque).
En cherchant une cover du livre sur Google,
j'ai pu constater qu'elles sont toutes hideuses...
Sauf celle-ci, mais il est connu que
je trouve belle la moindre paire de fesses !
Bon. Bien. Euh. Comment dire ?
Je ne l'ai pas fini. C'est ennuyeux comme la pluie. Et
encore, la pluie, c'est beau.
O est volontairement soumise à son amant et à ceux à
qui il la destine. C'est bien. C'est son problème. C'est leur vie.
Si ça leur plait, c'est cool... Mais nous, lecteurs égarés, que
vient-on faire là ? On ne peut même pas être taxé de
voyeurisme, y a rien à voir...
Oublions...
Les
Mers du Sud – Manuel Vazquez Montalban
J'étais désireux de me laisser séduire par une
nouvelle série de polars, ayant lu avec envie la critique des romans
de Montalban, mettant en scène le détective gastronome Espagnol
Pepe Carvalho,,,
Malheureusement, je n'ai guère été convaincu par
ce premier essai... Si le début était prometteur, l'enquête qui se
dessine ensuite tourne à l'ennui profond, le héros devant retracer
la dernière année d'un riche entrepreneur retrouvé mort dans le
premier chapitre après avoir disparu durant un an... Il se balade
mollement de maison de riche en maison de riche, les interrogeant
sans conviction, tandis que l'auteur nous trimballe dans
d'interminables digressions sur le roman noir (sous forme de débat
inintéressant), sur les errances de tel ou tel personnage et sur les
repas pris par le détective, entre deux filles dont il ne veut pas,
mais qu'il prend quand même...
Bref, goberge et masturbation intellectuelle... J'ai
tenu 80 pages...
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