En une seule journée et avec la gouaille qui le
caractérise, notre beau San-A des familles déjoue un complot
international visant à offrir à l’étranger les plans d’une
fusée ultra-secrète.
Bien sûr, l’histoire est linéaire et minimale, mais
la verve habituelle de San-Antonio prend son ampleur dans ce
quatrième volet des aventures du fameux commissaire. On a quitté
les temps de guerre, ce qui n’est pas plus mal, même si tous les
méchants sont Allemands ou assimilé (hé, c’est un San-Antonio,
faut pas s’attendre à de la subtilité).
En
fait, pour moi qui ai voulu reprendre la série à ses tout-débuts
et qui compte en descendre un de temps en temps, comme on suce un
bonbon des Vosges, rapidement et avec plaisir, pour passer le temps,
brève récréation dans une journée bien remplie, c’est la
première fois où j’ai l’impression de lire un vrai
San-Antonio. C’est tout dire...
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