
Trois jeunes gens ont disparu après avoir participé à une fête costumée. Leurs parents ont reçu de leur part des cartes postales de vacances et Kurt Wallander ne voit pas la nécessité d'ouvrir une enquête. Quoique... Il y a quelque chose de bizarre dans cette affaire...
Il y a toujours quelque chose de bizarre dans ce que rencontre Wallander. Wallander est un intuitif. Il sent les événements bizarres. Il a l'impression d'un détail qui cloche, il a le souvenir diffus d'une phrase entendue au cours d'une conversation...
Wallander est aussi un être humain, avec ses doutes et ses interrogations, ses maux et sa déprime.
Wallander est aussi un être humain, avec ses doutes et ses interrogations, ses maux et sa déprime.
Ça en fait à la fois un vrai personnage de roman noir, mais un vrai personnage tout court et c'est la grande force des romans de Mankell de donner à lire des polars qui ne sont pas qu'un scénario haletant (ils le sont aussi), mais une vraie tranche de vie... Des romans, quoi !
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