jeudi 4 février 2010

Les Morts de la Saint-Jean, Henning Mankell

 


Trois jeunes gens ont disparu après avoir participé à une fête costumée. Leurs parents ont reçu de leur part des cartes postales de vacances et Kurt Wallander ne voit pas la nécessité d'ouvrir une enquête. Quoique... Il y a quelque chose de bizarre dans cette affaire...
Il y a toujours quelque chose de bizarre dans ce que rencontre Wallander. Wallander est un intuitif. Il sent les événements bizarres. Il a l'impression d'un détail qui cloche, il a le souvenir diffus d'une phrase entendue au cours d'une conversation...
Wallander est aussi un être humain, avec ses doutes et ses interrogations, ses maux et sa déprime.
Ça en fait à la fois un vrai personnage de roman noir, mais un vrai personnage tout court et c'est la grande force des romans de Mankell de donner à lire des polars qui ne sont pas qu'un scénario haletant (ils le sont aussi), mais une vraie tranche de vie... Des romans, quoi !

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